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*Gil-Galad*

14 juillet 2008

england

pourl`instant c`est plutot cool...

enjoy

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9 juillet 2008

Je vous emmerde tous profondement, je vous chie dessus, vous gerbe dessus


    Je vous hais, je vous déteste. Pour ce que vous êtes, ce que vous représentez, ce que vous faites, ce que vous nous faites faire, ce que vous voulez faire de nous.




    Non, M000500030 n'a pas eu son bac. Non ce candidat n'a pas recraché ses cours aux rattrapages alors que c'est ce qu'on lui demandait. Ce candidat est vraiment trop débile. On lui laisse une chance de rattraper ses notes catastrophiques qu'il a eu à l'écrit - on se demande pas pourquoi d'ailleurs - et voilà qu'il les gâche. Tout ça pour quoi ? Non mais rigolez-bien : en littérature, Monsieur aurait eu quelques soucis au troisième trimestre et par conséquent aurait raté beaucoup de cours, notamment ceux qui portaient sur la question à laquelle il venait de tomber. Non mais comme si on se souciait de ses petits problèmes, c'est le bac quand même ! Le bac avant avant tout ! Alors voilà qu'il se pointe à l'épreuve, et qu'il espère pouvoir s'en sortir en improvisant, en imaginant, en s'creusant la cervelle. Comme si c'était ce qu'on lui demande. On te demandes pas de réfléchir abruti ! Seulement de recracher du par cœur ! Et en philo ! Non mais alors là, comble du ridicule ! Il connaît bien l'œuvre, la comprend bien, est capable de réfléchir dessus, mais voilà qu'à nos questions il est incapable de recracher son cours ! Il l'a pourtant étudié en cours cette œuvre, mais non, il préfère faire son mariole, se faire ses propres idées et interprétations.  Mais on s'en fout de son avis, on s'en fout de voir comment il pense, on s'en fout de savoir comment est-il capable de construire une réflexion ! On est en philosophie bon sang ! « l'amour de la sagesse » Et lui il nous ressort pas ses cours ! Vraiment pitoyable.

Bon bah M000500030 recalé à 9.36 de moyenne. On clôt son dossier et passons au numéro suivant.

5 juillet 2008

Comment peut-on se permettre d'être autant

Comment peut-on se permettre d'être autant sans-gêne ?

Comment peut-on se permettre de jouer autant la comédie ?

Comment peut-on se permettre de se construire autant artificiellement ?

Comment peut-on se permettre d'être autant possessif avec nous et ne pas prendre en compte le fait que nous avons, nous aussi, notre vie à mener ?

Comment peut-on se permettre de faire passer ses parents pour des pauvres pour inspirer la pitié et " sur un coup de tête " - c'est bien cette expression que tu as dis, hein ? - de se faire offrir une guitare à 250€ ?

Comment peut-on se permettre de tirer la gueule parce qu'on s'retrouve aux rattrapages, chose que, tu dois bien reconnaître, tu mérite bel et bien.

Comment peut-on se permettre d'être autant capricieux ?

Comment peut-on se permettre de toujours vouloir paraître ? De ne plus être soi-même ?


Parce que tu es un pote. Et que tu n'es pas un roi. Parce qu'on en a marre de toi comme ça.
Il serait temps que t'arrêtes tes conneries là et que tu te reprenne en mains un peu.
Alors maintenant tu bosse pour tes putains d'rattrapages, t'as pas l'choix, on t'répondra plus au tél ni sur msn ni nul part ailleurs. Les portes de chez nous sont fermées pour le moment. De toute façon t'en as pas besoin. Même si tu viens de faire super mal à tes parents ils sont géniaux, et n'te laisseront pas, mais j'pense que tu leur dois quelques explications là.


J't'ai mis l'nez dans ta merde. A toi d'en sortir maintenant.

16 juin 2008

Phil


Num_riser0001

    Ahem.. Réveil 6H05. Sonne deux fois toujours pas entendu. 3ème fois. 6H20. Horrible tête dans l'cul. Endormi plutôt tard. Passé un week-end sans trop dormir. Douche. Petit dèj', parti. Arrivé au lycée. Joint. Epreuve. Décryptage du sujet. " Mais j'peux pas faire de disserte là ! " Commentaire de texte, Sartre... Mouais. Dodo. Compréhension du texte. Réflexion, critique.  -" Il est quelle heure là ? " -" 11H30 " Arrrg. Commencer à écrire, plus que 30 min... Texte compris. J'avais les idées qui allaient en plus ( et des bonnes j'crois ), mais pas le temps pour les mettre toutes ni pour les développer... Shit.
    Rentré maison, 18H30 scandale de la mère, encore ses putains d'réflexions, d'remarques et reproches qui font mal à entendre et qui ne servent à rien. 18H50, scandale du père, 'ai frotté l'pneu d'sa voiture contre un trottoir. Il comprend pas pourquoi j'ai un " A " derrière la voiture. Plus d'voiture. Comme si j'avais besoin de ça.
    Et cette fatigue.. Et c'putain d'mal de crâne..

Allé, une carte en géo' histoire de m'donner bonne conscience " si j'ai fais quelque chose ! ". Et dodo.

12 juin 2008

RRRRAAAAAAAAAAAAHHHHH !!!!!!!!





RRRRAAAAAAAAAAAAHHHHH !!!!!!!!




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9 juin 2008

Oh, I've been flying... mama, there ain't no denyin'

 

Non,


J'n'en veux pas d'votre bac à la con.


    J'ai pas envie d'avoir ce p'tit bout d'papier d'merde qui va certifier que j'ai eu mon baccalauréat Littéraire. Qui va certifier qui je suis. Qui va certifier que j'ai été capable de faire des efforts pour vous faire plaisir. Pour que dans votre saloperie de liste de p'tits bouffons un nom de plus apparaisse. " Ayant obtenu son examen nous avons le plaisir de constater que ***** va pouvoir continuer à s'faire couillonner dans les établissements qu'on lui proposera, à suivre son cursus scolaire. Puis plus tard a avoir un boulot, trouver une femme et lui faire des gosses pour nous permettre à nous d'avoir de nouveaux jouets. A être un blairot de plus à sombrer dans cette société de fécalité absolue que nous lui avons créée, comme tous ces autres crétins. "


    Je n'veux pas de cette insanité qui va régir une partie de ma vie. Qui va rendre content mon entourage " C'est bien tu l'ais eut ! Je suis fier de toi ! ". Qui va me foutre sur le même piédestal que tous ces autres connards que j'exècre, qui se rangent fièrement en ligne devant leurs officiers. Prêt chacun à se prendre orgueilleusement sa balle dans la tête. Et content d'se la prendre. Oui, le bac n'est rien d'autre qu'une petite connerie qu'on instille dans votre putain de crâne.

 

 

    Une petite bille noire, ou blanche, ça dépend si vous la trouvez pure, de quel extrême vous êtes. Qu'on va vous faire lentement mais surement assimiler. Qui va s'insinuer dans vos pensées. Petit à petit. Un chevale de Troie psychologique. Au final et jusqu'à l'échéance apocalyptique vous ne penserez plus que par elle. Vous n'agirez plus que par elle. Et même après. Vous invectiverez vos enfants d'y passer aussi. N'aurez de l'estime pour eux que si, comme vous, ils se seront conformés comme de parfaits petits pantins. Ferez comme tous ces autres, qui nous contrôlent, à savoir ne plus rien voir que par les résultats, l'utilité, l'avantage.



Adieux Monde de l'Esprit.


 

  Et voilà maintenant que j'en viens à me détester. Parce que, parce qu'à priori, je vais le passer. Je me hais. De ne pas avoir le courage de faire outre. De ne pas passer à côté. D'emprunter ce chemin. Déchirement de l'âme, de mon moi. Si seulement j'avais la moindre garantie, de trouver un chemin praticable autre que celui proposé. Alors, alors seulement je serais libre. Mais pour l'instant, mon point de départ reste une merde noire et profonde. Dont je ne peux m'extirper librement. Alors je vais me présenter à leur " centre d'examen ", pour essayer d'obtenir quelque chose qui me répugne et me dégoûte. Quelque chose que je n'désire pas...



Horreur.



8 juin 2008

Zeitgeist


""


L'esprit du moment.


A mesure que l'on s'interroge sur ce que nous croyons savoir, d'où nous venons, la portée réelle de nos actes on fini par s'apercevoir que l'on nous a menti. Le mensonge s'est répandu dans toutes les institutions.

Rendez-vous compte un instant que seule l'institution de la religion n'a pas été touchée. Les institutions religieuses de ce monde sont à l'origine de ce foutoir.

Les institutions religieuses de ce monde sont établies par ces même individus qui décident de votre gouvernement, de votre éducation corrompue, et de la mise en place des cartels bancaires internationaux.

Nos dirigeants n'en ont rien à foutre de vous et votre famille. Tout ce dont ils se soucient et qui les a toujours intéressés c'est de contrôler ce foutu monde.

On nous a occulté la présence véritable du divin dans l'univers ce que l'homme appel " Dieu ". J'ignore ce qu'est dieu mais je sais ce qu'il n'est pas. Et à moins que et jusqu'à ce que vous soyiez prêt à regarder la vérité en face, où qu'elle aille, qu'importe vers qui elle vous mène, si vous voulez regarder dans une autre direction ou si vous voulez jouer aux bons élèves alors quelque part sur la route vous comprendrez que vous avez à faire à la justice divine.

A mesure que vous vous cultiverez vous comprendrez d'autant mieux d'où proviennent les choses et tout deviendra plus clair. C'est là qu'apparaîtront des mensonges de partout. Il vous faut connaitre la vérité et la rechercher car la vérité vous libérera.


sunstandard

Certains doivent trouver difficile d'avoir fait de leur autorité leur vérité, plutôt que de la vérité leur autorité.

""



27 mai 2008

Sound And Vision

21/05/08
Cours de géographie, l'Europe.


What love used to be
What drugs used to be
What sex used to be...


   

    Drugs... Comme une envie. De prendre une pastille. De se faire une ligne. De se piquer. Une envie de délestement. D'avachissement cérébral. De fuite. Pouvoir de s'échapper. D'une réalité parfois trop dure.



B- De Fortes inégalités sociales. ( étonnant tiens, soit-dit-en passant )

    Pouvoir rentrer dans ses sentiments et les voir de l'extérieur. D'en haut plutôt. Les analyser, les comprendre. Ou croire les comprendre. Qu'importe. Ne plus agir que par instinct. Naturellement. Sans se poser de questions. Sans réfléchir. Sans voir les conséquences, sans chercher à les voir. S'aveugler en quelque sorte. S'illusionner. Quitte à vivre dans une illusion, autant la choisir. Mais seul. Et seulement lorsque l'écrasante solitude étouffe. Lorsqu'il n'y a nul part où se réfugier. Lorsqu'il n'y a personne autour. Lorsque le cœur pleur. Lorsqu'il bat seul, machinalement. Sans savoir pourquoi. Ses coups résonnant au fond de la froide caverne des sentiments.


C- Les contrastes régionaux.

    Je gêne. Autour de moi une gêne. Je la ressens. Certains ont peur que je corromps mon entourage, ceux qui sont proches de moi. Même pas besoin de connaître précisément leurs pensées, leurs regards suffisent. " Ta façon de penser ". En fin d'compte j'me rends compte que certains me comprennent. Pas forcement dans mon entourage, mais un peu plus alentour. Je pense à des personne qui ont déjà plus de vécu, connus tellement d'autres choses, de choses différentes, surprenante, horribles, déconcertantes, agréables, bref. Mais ils ne disent rien. Mais je les dérange. Leurs yeux me le disent. J'ai l'impression parfois d'être fou. Enfin non, le fou ne sait jamais qu'il est fou. Somnoler aux portes de la folie.
    Et je commence à avoir peur. Peur d'influancer mes autres. Ou de les changer. Etre responsable de ça. Des personnes qui n'se posaient pas d'questions et qui maintenant s'en posent. Que eux aussi soient moins bien perçus. Que leurs entourages à eux n'acceptent pas ces changements. Ne les comprennent pas.

Que fais-je...

20 mai 2008

Blood On Our Hands

Explosion.

Comment veux-tu quelque chose d'aussi horrible ?

Je supporte pas. Déjà. J'enrage. Je fulmine. Je subis..

Je te fais subir.

"Mais vous êtes tordus tous les deux. Vous vous faites beaucoup trop d'mal pour rien !"
Oui. Mais putain. Si on pouvait. Ne pas s'en faire. Si tout, pouvait être aussi simple.

J'ai les nerfs à vif. Même pas attristé. Enragé. Même pas atterré. Le rouge dans les yeux.

Elle vient de m'envoyer un texto. Elle m'a refroidi... Contrairement à toi, il y des fois où je n'peux plus me contenir. J'ai les larmes aux yeux. Je lui ai parlé de nous. Je lui ai fait s'inquiéter pour moi, pour nous.  J'm'en veux. Putain pourquoi j'l'ai impliquée dans ce merdier. Rien à y faire. "Demain l'soleil Ronan l'soleil !"
Espérons.


    J'ai froid. Des frissons. Je viens de manger. J'ai craqué j'ai repris mes décontractant ( un peu plus mais bon ). Je commence à les sentir agir. Etrange. Frissons, l'impression que la peau me picote, faiblesses dans les cuisses. Mais je sens mes épaules moins lourdes et pesantes. Crispé comme j'étais la confrontation se sent passer. J'avais l'impression d'avoir les articulations rouillées, d'avoir des clous grinçants entre chaque membre. D'avoir des membres qui pèsent lourds, trop lourds. D'avoir des épaules enserrées dans un étau. Les omoplates de plomb. D'avoir la nuque aussi sèche et fragile qu'une allumette. Je me sens déjà un peu mieux. Mais j'ai toujours mal au crâne. Et j'suis toujours aussi fatigué. Une nuit affreuse. Entre cauchemars et incapacité physique pour dormir, car trop crispé.

    Journée détestable. Dans une affreuse hypocrisie à laquelle tu m'as demandé d'être. Une incommensurable frustration. Je supporte plus l'hypocrisie. Je n'en peux plus des masques et des jeux. Et tu me demande de plonger dedans tête baissée, épaules rentrées. De jouer. De jouer à ne pas être. Ne pas être ou même paraître devant les autres. Ces autres. Si tu savais à quel point tu peux me les faire haïr.  Les voir tous disparaître pour nous permettre d'être. Pour nous permettre d'exister. Tu t'rends compte de ce que tu demande ? Vois l'ampleur de ton caprice. Je t'ai dis une connerie. Je t'ai dis que je mettrais toute la bonne volonté dont je pourrais pour parfaire à ton caprice. Je n'ai été capable de rien aujourd'hui. Je m'en veux...

    Tu viens de me tuer. Tu m'as devancé. J'ai les effets de mes comprimés qui remontent tout d'un coup. Ou alors ce sont tous mes sentiments. Je suis tout étourdi. J'ai la tête qui tourne...

Bout de réponse.. Je reviendrais plus tard... La tête vide.



17 mai 2008

Will you still need me, will you still feed me


And if you say the word,

I could stay with you.


DSCF0031



Indicate precisely what you mean to say

Yours sincerely, wasting away

Give me your answer, fill in a form

Mine for evermore.



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